A la tête de son trio Metal-O-Phone ou avec le collectif Coax qui regroupe la fine fleur de la nouvelle scène française contemporaine, Benjamin Flament, virtuose du vibraphone et des percussions formé au conservatoire de Paris, est capable de proposer des projets porteurs d'une pertinente créativité et toujours joyeusement débridés : Radiation 10, Les Bonbons Flingueurs, White Light...
A la tête de son trio Metal-O-Phone ou avec le collectif Coax qui regroupe la fine fleur de la nouvelle scène française contemporaine, Benjamin Flament, virtuose du vibraphone et des percussions formé au conservatoire de Paris, est capable de proposer des projets porteurs d'une pertinente créativité et toujours joyeusement débridés : Radiation 10, Les Bonbons Flingueurs, White Light...
Après des études classiques à l'ENM de Nevers, puis Créteil, Benjamin Flament se destine au jazz et entre au CNSM de Paris où il obtient le DFS en 2008.
En 2008 cheville ouvrière du collectif Coax, il commence à se produire au vibraphone avec Radiation10 (1er prix d'orchestre du concours de la Défense en 2007), Metal-O-Phone (élu Jazz migration 2011 par l'AFIJMA, sélection 12 points+), mais également avec Hasse Poulsen "We are all americans", en duo avec Clément Janinet.
En 2012, Benjamin Flament est sélectionné pour le 1er programme Take Five Europe. En constante recherche, il s'est fabriqué un instrument composé d'une multitude de métaux (gongs, abajours, équerres, bols, cul de poule, cymbales scratchées...) qu'il traite par le biais de l'électronique.
C'est avec cet instrument qu'il se produit actuellement, notamment avec Vegan Dallas, Sylvain Rifflet « Mechanics » (Elu meilleur album 2016 aux victoires du jazz), Magnetic Ensemble, dans la pièce de théatre d'Emily Loizeau « Mona », Théo Ceccaldi / Fantazio « Peplum »
Il s'est également produit avec Michel Portal, Henry Texier, Han Bennink, l'ONJ de Franck Tortiller, Thomas de Pourquery, Peter Brotzman...