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Benjamin Flament


percussionniste

  • J'utilise les micros A1 en over-head sur diverses percussions.

    La polyvalence est énorme. La réponse en fréquence est large avec de jolis aigus.

    Au final des micros simples qui font le boulot au moins aussi bien que les plus grandes références !

     

  • Le STC-3D MK2 est très polyvalent, je l'utilise dans plusieurs configurations (voix, percussions, petits objets pour des banques de sons).

    On retrouve tout de suite une qualité de restitution très précise et équilibrée. J'apprécie beaucoup la transparence de ce micro.

    En bref un super micro !!!

  • Super son et très bonne réponse.

    J'ai enregistré plusieurs grosses caisses avec le DRM-KD : une très grave, j'ai retrouvé tout de suite les basses, limite sub que je cherchais et une plus punchy, sur laquelle j'ai tout de suite obtenu la dynamique, la précision et ce conjugué à de belles basses.

     

Biographie

A la tête de son trio Metal-O-Phone ou avec le collectif Coax qui regroupe la fine fleur de la nouvelle scène française contemporaine, Benjamin Flament, virtuose du vibraphone et des percussions formé au conservatoire de Paris, est capable de proposer des projets porteurs d'une pertinente créativité et toujours joyeusement débridés : Radiation 10, Les Bonbons Flingueurs, White Light... 

Après des études classiques à l'ENM de Nevers, puis Créteil, Benjamin Flament se destine au jazz et entre au CNSM de Paris où il obtient le DFS en 2008.

En 2008 cheville ouvrière du collectif Coax, il commence à se produire au vibraphone avec Radiation10 (1er prix d'orchestre du concours de la Défense en 2007), Metal-O-Phone (élu Jazz migration 2011 par l'AFIJMA, sélection 12 points+), mais également avec Hasse Poulsen "We are all americans", en duo avec Clément Janinet.

En 2012, Benjamin Flament est sélectionné pour le 1er programme Take Five Europe. En constante recherche, il s'est fabriqué un instrument composé d'une multitude de métaux (gongs, abajours, équerres, bols, cul de poule, cymbales scratchées...) qu'il traite par le biais de l'électronique.

C'est avec cet instrument qu'il se produit actuellement, notamment avec Vegan Dallas, Sylvain Rifflet « Mechanics » (Elu meilleur album 2016 aux victoires du jazz), Magnetic Ensemble, dans la pièce de théatre d'Emily Loizeau « Mona », Théo Ceccaldi / Fantazio « Peplum »

Il s'est également produit avec Michel Portal, Henry Texier, Han Bennink, l'ONJ de Franck Tortiller, Thomas de Pourquery, Peter Brotzman...